LE ROYAUME-UNI CHOISIRA SA CHANSON DANS UN PROGRAMME STYLE X-FACTOR
Une information qui est parue hier dans de nombreux sites eurovision, d’une manière assez incomplète qui donne quelques pistes sur le déroulement de la finale nationale anglaise Eurovision 2016. C’est le journal « The Guardian » qui donnent plus de précisions dans un article paru hier en fin de soirée. C’est un choix de 6 artistes qui se fera d’après un nombre de chansons reçues. Le choix du représentant s’effectuera lors d’une émission de style X-Factor et c’est un vote mixte (50 % votes du jury et 50 % votes du public) qui décidera qui ira pour le UK à Stockholm en mai prochain.
La présentatrice de ce grand show sera Mel Giedroyc. Fait à souligner dans cette édition est que c’est la deuxième fois en 6 ans que le public poura donner son avis dans une finale nationale Eurovision anglaise. La dernière fois c’était avec Josh Dubovie et son titre « That Sounds Good To Me », qui reçu un assez mauvais accueil de la part du jury et du public au Concours Eurovision en 2010.
Mais revenons à cette nouvelle polémique de la part de la télévision anglaise, qui pourrait également avoir des répercussions dans le monde des eurofans anglais. Cette finale se déroulera le 26 février prochain et attention à la nouvelle, c’est la chaîne BBC 4 , chaîne très connues qui diffusera ce programme. Un spectacle qui aura une durée de 90 minutes et sera diffusé en direct du Forum O2 de Kentish Town, au nord de Londres. Pour l’instant tout est tenu secret depuis les 6 chanteurs de cette finale au panel d’experts. La seule chose qui a été révélé, et c’est un scoop pour ce site, c’est le 22 janvier que seront connu les invités pour la finale nationale anglaise Eurovision 2016, lors d’un programme sur la 2ème chaîne nationale de radio dans un programme animé par Ken Bruce.
Je vous rappelle que le dernier résulat du Royaume- Uni a été une malheureuse 24ème place avec le groupe des « Electro Velvet » et 5 malheureux petits points dans la finale du Concours de l’an passé.
Source : the guardian